Maîtres et maîtresses du monde, chaussés rutilants et piétinants,
Dites-vous : il n’y a ni naissance, ni mort
Manipulez les individus comme des gants troués,
corps et âmes armés de concepts
vous justifiant
Quant à la population elle s’insurge, régulièrement,
puis se rendort, paisiblement…
Les patterns sans cesse rejoués de l’Histoire
tels un théâtre de boulevard
bien accordé
Il n’y a ni naissance ni mort et pourtant les idées croient naître
et l’Homme tout inventer.
Sans aigreur ni pensées noires,
à la minuscule lueur d’espoir,
je peux essayer de ne pas perdre de temps
Toxique pensée de l’humain-hiérarchie-organisation de vacances au club Med.
Puant de maintenir un pouvoir sur les autres comme justification
de nos propres blessures.
Querellons-nous aussi peu que nous puissions nous déchirer
Peut-être que nous aurons des renaissances encore plus belles que ce que nous espérions depuis la nuit des temps
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