Les poèmes que nos regards emportent, nos mains se les disent.
J’aime ton âme mon homme
tout est beau en toi
tout est beau
j’aime ton sourire et ton silence
Et tu ne sais pas, l’effet que ça me fait, de t’entendre me répondre « oui »
Moi qui aime être tenue par deux fils d’araignée fins, fragiles mais solides. Ephémères et sensibles aux vibrations, on pourrait peut être se demander où les accrocher ?
Dans tes bras le temps s’étire.
Tu m’écarquilles,
Fleur délicate dans mon esprit
Tu n’es pas équilibriste, plutôt idéaliste,
Je suis particule particulièrement « contraductrice »
Je, tu, nous sommes infiniment grands et petits à la fois.